Y comme Youpi , quel bel arbre !
Lors de ce challenge AZ 2021 j’ai choisi pour fil conducteur les mariages heureux ou pas…,
mais certainement insolites.
Lors de ce challenge AZ 2021 j’ai choisi pour fil conducteur les mariages heureux ou pas…,
mais certainement insolites.
Lors de ce challenge AZ 2021 j’ai choisi pour fil conducteur les mariages heureux ou pas…,
mais certainement insolites.
Lors de ce challenge AZ 2021 j’ai choisi pour fil conducteur les mariages heureux ou pas…,
mais certainement insolites.
Lors de ce challenge AZ 2021 j’ai choisi pour fil conducteur les mariages heureux ou pas…,
mais certainement insolites.
Lors de ce challenge AZ 2021 j’ai choisi pour fil conducteur les mariages heureux ou pas…,
mais certainement insolites.
Lors de ce challenge AZ 2021 j’ai choisi pour fil conducteur les mariages heureux ou pas…,
mais certainement insolites.
Lors de ce challenge AZ 2021 j’ai choisi pour fil conducteur les mariages heureux ou pas…,
mais certainement insolites.
Lors de ce challenge AZ 2021 j’ai choisi pour fil conducteur les mariages heureux ou pas…,
mais certainement insolites.
Dans un précédent blog je vous avais fait part de mes soucis concernant la famille GOUDEAU, père et fils, mes Sosa 46 et 92 (voir ICI).
Je viens (enfin) de recevoir copie du dossier de retraite de Gilbert GOUDEAU, conservé au SHD Vincennes et j’ai trouvé réponse à une partie de mes interrogations.
Pour lecture cliquez ICI… Découvrir l'article
Vous avez pu constater un long silence sur mon blog…
De grands changements dans ma vie personnelle ont émaillé cette dernière année : la conclusion d’un divorce qui traînait depuis presque sept ans, un remariage attendu depuis presque autant de temps, ou encore un déménagement pour la Bretagne dans une maison dont les travaux de rénovation et mise aux normes s’éternisent peuvent expliquer sinon justifier ce silence.
J’ai donc délaissé ce blog n’ayant pas l’esprit suffisamment libre pour entreprendre les recherches généalogiques que j’aurai aimé compléter.
Je sais que le retard ne se rattrape jamais, mais je vais néanmoins essayer d’être plus assidu, d’autant que je me heurte à deux problèmes :
Tout d’abord, les recherches sur mon Sosa92, dont je vous ai parlé dans mon dernier post n’avancent pas. J’ai demandé de l’aide pour des recherches au SHD Vincennes, mais les contraintes imposées par les conditions sanitaires rendent difficiles … Découvrir l'article
La famille Goudeau me cause beaucoup de soucis…
… un prénom d’usage autre que le prénom officiel
… et une identité approximative
Pour lire l’article c’est ICI
« Qui suis-je » est une question aussi vieille que l’humanité.
C’est une question complexe et ambiguë, car il est presque totalement impossible de s’extraire de soi-même pour prendre du recul et s’observer. C’est en outre une question extrêmement large, puisqu’elle touche à la fois à la physique, à la biologie, à la génétique, à la psychologie, à la sociologie, ou encore à la généalogie.
C’est justement cet aspect généalogique que je veux analyser dans ce billet :
1° Je suis le fils de mon père Jean Grandidier, (lapalissade assumée) : la lignée des Grandidier prend source à Brouvelieures dans les Vosges. Nous savons que Demange Jacot Grandidier, né entre 1485 et 1495, est laboureur et lieutenant d’échevin de la mairie du village. Un de ses petits‑fils Jean « émigrera » vers Bréhimont (hameau du village actuel de Saint‑Michel‑sur‑Meurthe). Notre lignée restera fidèle à cette région (Saint-Michel – La Salle … Découvrir l'article
Lors de nos recherches généalogiques, nous nous trouvons confrontés à des filles-mères ou à des enfants nés hors mariage et/ou reconnus lors le mariage de leurs parents. Et nous nous rendons alors que la seule lignée dont nous pouvons être totalement certains, c’est la lignée cognatique, remontant notre généalogie de mère en mère.
Curieusement, lorsqu’on débute en généalogie, cette lignée cognatique est très souvent omise au profit de la lignée agnatique (c’est à dire de père en père) qui nous apporte certes notre nom mais qui est au final la moins sûre au niveau génétique.
lire l’article ICI… Découvrir l'article
Alexandre GOUDEAU est mon Sosa 46 : lors de la recherche des classiques « trois actes » je rencontre et butte sur plusieurs énigmes :
1 – Tout d’abord, où est-il né ?
Si l’on en croit son acte de mariage le 25 décembre 1839 à Issoudun (AD36 3 E 088/266 vue 120) ou son acte de décès le 14 juin 1879 à Issoudun (AD36 3 E 088/392 vue 40), il serait né à Vichy- Royaume de Naples – Italie, le 9 août 1807
Or, il n’y a pas de Vichy en Italie…, cela pourrait-il être Ischia, île du golfe de Naples ?
2 – Qui sont ses parents ?
Son acte de mariage (très peu lisible) nous dit qu’il est fils de Gilbert GOUDEAU, militaire et de Marie Magdelaine IBERLINE (celle-ci étant décédée à Lorient)
Pour lire la suite Cliquez sur ICI
Le 4 septembre 1819 naissait à Francheval (Ardennes) mon sosa 62, Jean Baptiste Rennesson, fils de Jean et de Catherine Quesaque. (source : AD08 2 E 179 Francheval Naissances ANXI-1847 vue 161/483). Il se marie le 1er juin 1840 à Francheval avec Marie Catherine Blondelet (Source : AD08 2 E 179 9 Francheval Mariages 1892-1847 vues 251-252/309), née le 29 mai 1819 à Francheval, fille de Jacques Blondelet et Marie Louise Lefevre.
Ils eurent plusieurs enfants dont ma Sosa 31 Marie Uranie Sidonie Rennesson, mais c’est un autre enfant qui attire aujourd’hui mon attention : Il se prénomme Jean Baptiste Prosper Rennesson. né le 10 avril 1857 à Francheval (source ; AD08 : 2 E179 4 Francheval NMD 184861860 Vues 288-289/414).
Jean Baptiste Prosper Rennesson épousera le 11 décembre 1857 à Saint‑Menges (08) Marie Catherine Blondelet , (source : AD08 : 2 E 391 10 Saint‑Menges … Découvrir l'article
De Virginie Méry (ma Sosa 45), je ne sais rien d’elle sinon qu’elle serait née vers 1816 si l’on se réfère aux actes de naissance et de mariage de son fils Edouard :
Elle est dite âgée de 22 ans en 1838 leur de la naissance de son fils. (source : AD37 : 6NUM8/261/150 Tours Naissances 1838 vue 84/254)
Elle est dite âgée de 44ans en 1860 lors du mariage Edouard Méry/Pétronille Clair.(source : AD36 : 3 E 088/333 Issoudun mariages 1860 vues 64-65/106)
et âgée de 47ans en 1863 lors du-mariage Edouard Méry /Françoise Goudeau.(source : AD36 : 3 E 088/342 Issoudun mariages 1863 vues 91-92/158)
Voir ICI
Malgré l’aide des logiciels de généalogie, il est difficile d’avoir une vue globale de l’ensemble de nos ancêtres connus. Dans certaines branches, mes recherches m’ont permis de remonter à la 12ème voire à la 16ème génération
Impossible sur un format classique A4 (même A3) de représenter un arbre généalogique ascendant aussi complet. Seules, pour rester lisibles, 5 voir 6 générations peuvent être représentées que ce soit en arbre traditionnel ou en éventail.
J’ai recherché comment faire connaître l’ensemble de mes ancêtres directs (pour les initiés mes Sosa). Après bien des essais, j’ai pensé à réaliser un dictionnaire où chacun de mes ancêtres serait cité avec quelques lignes évoquant synthétiquement ce que je sais d’eux, comme dans l’exemple suivant :
J’ai insisté sur les mariages des uns et des autres, et énoncé les enfants, exemple :
Ainsi, j’ai obtenu un document de plus de 60 pages, où tous mes … Découvrir l'article
Il est temps de faire le bilan de mon travail généalogique de 2020…
1° Comme en 2019, j’ai réussi à tenir mon engagement d’écriture d’un livre issu de mes recherches généalogiques et de le faire auto-éditer.
Après « Ancêtres verriers » qui nous entraînait dans les affres de la guerre de Trente Ans en Alsace‑Lorraine, le renouveau des verreries dans le pays de Bitche et celles des Vosges alsaciennes, les grandes familles de verriers et notamment celles des Feistauer et des Bretzner (qui sont présents dans ma généalogie et celle de ma compagne), je me suis penché cette année sur la seconde guerre mondiale.
« 1940-1945 – Prisonniers de guerre» a pour objet (à travers mon grand-père maternel) de rendre hommage à tous ces hommes qui ont donné cinq années de leur vie pour la France. Pourtant, encore aujourd’hui, ils sont les grands oubliés de la mémoire collective : … Découvrir l'article
Nous voilà transportés avec ce billet dédié aux familles Avelange et Bréville dans une nouvelle région de France. Après avoir traversé les Vosges, (pays de mon grand‑père paternel), la Bretagne, (celui de mon grand‑père maternel), nous arrivons dans les Ardennes, berceau de la famille de mon arrière‑grand‑mère maternelle, Marie Uranie Bréville épouse Avelange, que nous appelions « mémère Annie ».
De Boutancourt, où est né vers 1690 Pierre Avelange, à Francheval, les Avelange, resteront toujours dans un petit périmètre, au nord-est du département, allant du sud de Charleville à l’est de Sedan, dans les terres de l’ex-principauté de Sedan…
…que le roi Louis XIV (le 20 mars 1651) « pour le bien de son état et pour mettre à couvert la frontière de Champagne, suivant la résolution du défunt Roy son père Louis XIII » acquiert définitivement avec toutes ses appartenances et dépendances.
Les Bréville ne … Découvrir l'article