Bilan 2020 et prospective 2021
Il est temps de faire le bilan de mon travail généalogique de 2020…
1° Comme en 2019, j’ai réussi à tenir mon engagement d’écriture d’un livre issu de mes recherches généalogiques et de le faire auto-éditer.
Après « Ancêtres verriers » qui nous entraînait dans les affres de la guerre de Trente Ans en Alsace‑Lorraine, le renouveau des verreries dans le pays de Bitche et celles des Vosges alsaciennes, les grandes familles de verriers et notamment celles des Feistauer et des Bretzner (qui sont présents dans ma généalogie et celle de ma compagne), je me suis penché cette année sur la seconde guerre mondiale.
« 1940-1945 – Prisonniers de guerre» a pour objet (à travers mon grand-père maternel) de rendre hommage à tous ces hommes qui ont donné cinq années de leur vie pour la France. Pourtant, encore aujourd’hui, ils sont les grands oubliés de la mémoire collective : restent et prédominent largement aujourd’hui dans l’esprit et la mémoire de nos contemporains le souvenir des malheureux civils déportés dans les camps de la mort, le souvenir de millions de juifs victimes de la Shoah, ou encore le souvenir des résistants.
Rappel : ces livres sont en vente sur mon site
2°Conjointement aux recherches pour cet ouvrage, j’ai réalisé la généalogie (privée) de mon grand‑père maternel remontant pratiquement à la génération 9, c’est-à-dire aux environs de 1600.
3°Techniquement, j’ai adopté le logiciel Hérédis pour mes travaux généalogiques, et je poursuis petit à petit son apprentissage afin d’utiliser au mieux toutes les possibilités qu’il offre. Et je suis loin de tout maîtriser !
… et de faire quelques projets pour cette année 2021 :
1° Pas d’essai auto-édité prévu cette année, mais un livre privé familial qui fera suite à mes « Divagations autour de la généalogie familiale » écrit il y a quelques années retraçant la généalogie des quatre branches familiales à partir de mes quatre grands-parents.
Un proverbe malgache dit que « les morts ne sont vraiment morts que lorsque les vivants les ont oubliés », c’est pourquoi il me parait utile de raconter la vie de mes parents, grands‑parents et celle d’une arrière‑grand‑mère que j’ai bien connu (aujourd’hui tous disparus).
Charles Péguy disait « que la mémoire d’une génération s’arrête au mur des quatre grands-parents, à ce dont elle peut se souvenir directement. » c’est pourquoi j’ai donné à ce projet le titre provisoire « Devoir de mémoire ».
2° Au niveau travaux généalogiques purs, outre la persévérance dans la connaissance des outils de Hérédis, je vais compléter ma quête des actes manquants…, des branches en « jachère »…
3° Bien entendu, je continuerai en 2021 à entretenir mon site et enrichir mon blog au gré de mes envies, de mes surprises, de mes découvertes, et participerai au challenge AZ 2021 avec pour fil conducteur les mariages heureux ou pas…, mais certainement insolites !
Bon courage à tous et bonne année généalogique.