Z comme Zoom sur mes arrière-grands-parents maternels

Jean, François Offret (né le 27 mars 1868 à Kermoloc’h) et Nathalie, Marie Goëlou ou Gouelou (née le 26 octobre 1872) s’unissent à Bégard, pays de l’épouse, le 1er septembre 1893, où ils s’établirent.

Des études montrent que, en 1901, la Bretagne bretonnante utilise peu les méthodes de contraception connues à l’époque d’où une forte natalité : de cette union naîtrons 12 enfants dont mon grand-père Louis Offret (notons que 3 décèderont en bas‑âge).

Jean François, comme son père (et comme le seront quasiment tous ses fils) était maçon. Nathalie, (qui ne savait ni lire ni écrire), est dite ménagère. Comme si être mère de famille nombreuse n’était pas une profession à part entière !

Il faut se rappeler qu’avant la Première Guerre mondiale (malgré les différentes lois et arrêtés pris depuis longtemps) la moitié de la population de la … Découvrir l'article

30 novembre 2020

J’ai attrapé le virus

J’ai attrapé le virus de la généalogie…, mais je me soigne.

J’ai longtemps plongé dans le grand bain de la généalogie au risque de m’y noyer. Je m’ébrouais avec vertige dans des listes de noms d’ascendants, de collatéraux, de cousins. J’ai multiplié avec frénésie les liens à tout va sur toutes les lignées. J’ai accepté avec complaisance les notifications proposées par Hérédis, ou encore les indices de Généanet ou Filaé pour augmenter le nombre d’individus sur mon arbre.

Résultat : j’étais perdu dans des lignées éloignées, je ne comprenais plus rien. J’étais noyé dans les vérifications à rechercher de tout côté pour des liens familiaux devenus très éloignés des branches principales (nota : pour moi celles de mes quatre grands-parents). Il était temps de faire quelque chose.

Aussi, j’ai pris une grande résolution qui a modifié mon regard sur la généalogie. Lors de l’année universitaire 2018‑2019, j’ai préparé le … Découvrir l'article

13 décembre 2021